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Cali Quoi !

Âge d'or Tour. Zénith de Paris, 27.05.2015

 

Mercredi 27 mai 2015. Direction le Zénith pour y retrouver Cali et ses musiciens, à l’occasion de son unique date parisienne.

 

Et c’est Arno Santamaria, candidat finaliste de l’émission Rising Star (M6) soutenu par Cali, qui ouvre les festivités. Promesse tenue : l'artiste, dont l'album "Des corps libres" sort le 1er juin, assure donc la première partie du chanteur perpignanais, devant une salle non encore pleine mais réactive à son répertoire. Un set de qualité, de chansons à texte et efficaces, qui tend à souligner une filiation artistique évidente entre les univers des deux artistes.

 

Puis Cali entre en scène avec le premier extrait de son nouvel album « La vie quoi ! ». Les premières notes résonnent à peine que déjà une énergie incroyable se soulève dans la salle. Le public acclame l’artiste qui le lui rend bien, finissant son titre par un premier bain de foule. S’en suit un concert à son image : rock, énergique, tendre, généreux, vivant, habité. Tantôt ému et émouvant, tantôt en transe et survolté, Cali ne

 

 

 

s’économise pas ! Une énergie folle et incroyablement communicative, caractéristique de l’artiste, s’installe dans tout le Zénith sans jamais faiblir. Comme à son habitude, Cali court d’un bout à l’autre de la scène, sautille, invite les photographes à le rejoindre pour des instantanés au plus près de lui, puis fait monter ses fans le temps d’une danse ou d’un bout de chanson. L’artiste est en grande forme pour le plus grand plaisir de son public, conquis et en totale communion avec lui.

Pendant près de 2h30, il interprète tour à tour les chansons de son dernier album (la vie quoi, c’était beau, camarade, la vie est une menteuse…) et ses incontournables (la vie est éternelle, elle m’a dit, l’amour fou, il y a une question, je m’en vais…). Il livre un véritable show, à son image et à son entière démesure : vibrant, touchant, entier, authentique. Douceur, tendresse et amour infinis d’un papa pour sa jolie Coco sur la chanson qu’il partage avec sa fille ; Parfaite combinaison entre instants d'émotions (Giuseppe et Maria, tout ce qui ne reviendra plus, Ostende) et des moments de "dinguerie" dont seul lui a les secrets. Cali partage aussi la scène avec de nombreux amis, qu’il met en avant avec l’humilité et la générosité qu’on lui connaît. Patrick Bruel d’abord sur « c’est quand le bonheur », puis dans une jolie « complainte de la butte ». Le violoniste Steve Wickham ensuite, puis Jimmy O’Neill pour interpréter ensemble « le grand chemin ». Arno Santamaria le rejoint également en fin de concert pour un « mille cœurs debout » complètement fou. Second bain de foule pour Cali qui se termine par une traversée euphorique du Zénith, porté par les chœurs et les bras de son public.

De retour à la scène, entouré de ses invités, Cali interprète alors « l’âge d’or » dans un ultime moment de partage et de communion.

Plus qu'un concert, un live époustouflant où tout est rendu possible, comme Cali sait si bien le faire ! Il y a tellement de coeur chez cet artiste là, dont l'âme transpire autant de sueur que de sincérité. Sur scène, Cali donne tout. Sans concession.

Alors, c’est quand le bonheur ? Le bonheur ?... Cali, quoi !

Lila MAGGIO – Chronique live "Cali quoi !" © 29.05.2015   

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